※ LES DIFFERENTS UNIVERS

THESE LITTLE THINGS [TLT]
city réel → sleepy bay (petite ville inventée d'irlande)
La fraîcheur d'une brise matinale. Le bruits de la tondeuse à gazon du voisin. Les cris des gamins d'à côté. La tasse de thé vide posée sur l'étagère. Les rayons du soleil étouffés par un nuage gris de passage. L'odeur des crêpes. Ou celui d'un café fumant. Le téléphone qui sonne. Le ricochet d'un caillou dans le lac. La tête que t'as quand tu te regardes dans le miroir le matin [...] Toutes ces petites choses qui font parti du quotidien. Toutes ces choses pour lesquelles on aurait envie de hurler, de rire, de griffer, de câliner, de mordre. Elles font de nos journées de petites scènettes. Elle font de ce quartier une pièce de théâtre aux actes indénombrables. Il n'y a rien qui ne soit un assemblage de petites choses; la vie est une succession de petits bonheurs dont il faut se contenter. "Vivre le moins mal possible" selon la philosophie de Voltaire [...] Tate, lycéen de 17 ans, embrasse toujours les fossettes qu'il trouve adorables de sa copine. Marie, étudiante en arts appliqués, cède à la gourmandise d'un biscuit à la cannelle tous les matins. Francesca, femme de ménage et mère de 2 enfants, prend le temps chaque dimanche de monter sur le toit de l'immeuble pour fixer l'horizon. Chacun possède comme eux ces petites choses qui le rendent heureux, qui qu'il soit. Malheureusement, tout le monde n'est pas prêt; il faut une certaine prise de conscience pour sortir d'un malheur profond et plonger dans le petit bassin d'un bonheur éphémère. Et vous, le bonheur, ça vous donne des frissons ?
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FIRE AND WAND [FAW]
harry potter → durmstrang (1996)
Perdue dans la brume, s’élève une école que beaucoup connaissent. Durmstrang. Ecole de magie, école de sorcellerie, école aux milles tourments. Ce que beaucoup ignorent, c’est qu’en son sein, les grandes maisons se battent pour des idéaux dont peu de gens connaissent l’existence. La maison Thor, représentante des loyaux et des braves, accompagnée de la maison Freyja, les doux et les érudits, sont partis à la recherche de la magie pure. De la magie sous forme sauvage, dénuée de la baguette. Certains crient au suicide, au pêché, demandent le bûcher. La guerre gronde, s’élève, dans les murs de la Grande Demeure. La maison Loki, vicieuse et brillante, aux côtés de la maison de Fenrir, forte et impulsive, refusent cette idée. La baguette restera à jamais l’emblème des sorciers. Puristes, ou peut-être fous, ils refusent la magie pure, ils la jugent trop dangereuse, trop puissante. Alors ils réagissent, ils crient, ils épellent, ils détruisent. Sorts, après sorts, l’espoir de voir la magie à nue, dénuée de baguette, s’atténue, s’efface, disparaît.

Pourtant, perdu dans les fondations du château, l’espoir s’accroche. Vivace, puissant. Dans le cœur de chaque étudiant, il naît, grandit et prend sa source dans les rêves les plus grands : jusqu’où pousser les sorciers ? Que serions-nous capables de faire sans baguette, avec juste une pensée, un geste ? Et si le monde pouvait changer, et si les sorciers n’avaient plus besoin de se cacher ? Si la solution était de se débarrasser des baguettes ?
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